Comment un enfant juif vécut « sa guerre » dans Paris. Et plus tard, homme engagé dans la politique mais cependant pétri d’humilité, à l’écoute des voix authentiques de la cité. Au coeur de sa fidélité, judaïsme et franc-maçonnerie s’entremêlent.

« Avant de me frapper, les CRS me dirent ceci : Toi, tu as une gueule de juif, tu dois être avec Mendès France ! Voilà pourquoi je suis entré en politique. » Cet instant clé de sa vie, Jean-Michel Rosenfeld, adjoint au maire du XXe arrondissement, ancien directeur de la Communication de Pierre Mauroy lorsqu’il était Premier ministre, le raconte dans ses mémoires. « Je crois en l’homme », affirme Jean-Michel Rosenfeld qui nous fait revivre son enfance de « titi ashkénase », les années Mitterrand et son engagement quotidien en faveur de « la société qui peut être améliorée » ; un parcours exceptionnel à méditer.
(Le Parisien)

« A travers ces Mémoires, ce sont soixante ans d’histoire politique française - la grande, mais aussi la petite - qui défilent sous nos yeux. Jean-Michel Rosenfeld dresse aussi un tableau sans complaisance du monde politique, dont les acteurs ne sont pas toujours à la hauteur des idéaux qu’ils sont sensés servir. Mais, à soixante-dix ans, il poursuit son chemin et s’avoue heureux. »
(Fondation Jean-Jaurès, dirigée par Pierre Mauroy)

« Son témoignage sur la reconstruction de la France, puis sur la gauche des années 80, nous rappelle que les socialistes ne sont pas tous ces colins froids que l’on voit passer à la télévision. » 
(Marianne)

« Militant et responsable socialiste, homme de confiance de Pierre Mauroy, ardent maçonnique, Jean-Michel Rosenfeld se définit dans son autobiographie «Les lumières de l’espoir» comme un « titi askhénase » amoureux de l’idéal républicain français. Monsieur Rosenfeld est vice-président des Cercles Bernard Lazare qui réunissent des juifs laïques et progressistes. C’est un infatigable artisan du rapprochement entre gauche israélienne et Palestiniens. »
(Agence France Presse mondiales)

« L’auteur est franc-maçon depuis plus de quarante ans, membre du Grand Orient de France. La politique est bien sûr omniprésente dans ce livre. Jean-Michel nous fait vivre son Parti, souvent au prisme de Pierre Mauroy, qu’il a servi, des années soixante-dix à aujourd’hui. La force de ses convictions reste entière, au-delà des années ; à soixante-dix ans, Jean-Michel poursuit son chemin, toujours animé par le désir d’action et par l’humanisme qui constitue sa marque, comme la simplicité, la générosité et la volonté d’aider les autres ».
(L’Ours)

« Son livre relate comment il a échappé à la rafle du Vel d’Hiv’ en juillet 1942 et comment il se sentait étrangement fier” de son étoile jaune. Monsieur Rosenfeld est vice-président des Cercles Lazare qui réunissent des juifs laïques et progressistes. C’est un infatigable artisan du rapprochement entre gauche israélienne et
Palestiniens. »
(La Croix)