Une fois de plus, suite à un crime abject, le commissaire Vidal Marot est confronté à un problème de taille posé par le procureur Janin, dont l’objectif est d’éradiquer un trafic d’organes humains sur Paris et sa banlieue. Une victime sans identité et un témoin de la grande bourgeoisie américaine. Une seule consigne pour Marot et son équipe : l’enquête doit être menée avec rapidité dans la plus totale discrétion dans le milieu de la cloche…

Si ce trafic est connu confidentiellement dans un certain milieu médical de la capitale et de la justice, il l’est également par des médecins mafieux internationaux à la recherche de patients en attente de greffe. Marché parallèle juteux permettant un enrichissement rapide. Pour le procureur de la République Janin, ce trafic immoral est un fléau au même titre que celui de la drogue. Son objectif : éliminer les trafiquants. Là, tous les acteurs de ce monstrueux trafic se retrouvent dans le même chaudron : matière première, patients richissimes, médecins et policiers ripoux, justice, affaires étrangères et services secrets, peu importe. La soupe est bonne dans la marmite du diable…

Illustration de couverture : Tag du Musée d’Art Moderne et Contemporain de Strasbourg.