Tout a été dit, écrit, interprété, chanté, joué, mis en scène, sur l’amour. Il est enfant de Bohême et c’est un bouquet de violettes dont les plaisirs ne durent pas toute la vie lorsqu’il n’est pas une revanche sur l’ironie du sort.

On peut ne jamais connaître la réussite, l’argent, la santé, mais il est impossible de ne jamais rencontrer l’amour. C’est un sentiment universel qui surgit à tout âge de l’existence. Il frappe dans tous les endroits de la planète et surprend dans toutes les couches sociales de la société. Une idylle peut réunir une star et un bibliothécaire ou une étoile et un lion & it’s not unusual to be loved by anyone. Everybody loves somebody sometimes, everybody falls in love somehow or somewhere, mais everybody needs somebody to love. All you need is love ! ce sentiment qu’on ressentait noble et pérenne ne suscite parfois plus d’émotions, puis laisse place à un amour disparu, éteint, que le temps semble avoir effacé. Le bonheur prend des formes différentes et qui sait où il peut mener les tourtereaux miraculeusement réunis ? On peut ériger de somptueux palais par amour et s’il s’éprouve parfois de façon durablement platonique, Lady CHATTERLEY le consomme jusqu’à être heureuse dans les artifices de la vie.

À l’instar de Philippe NOIRET qui, selon Robert ENRICO, épiait l’évolution des choses derrière son miroir sans tain, l’on assiste, ici, à la naissance d’un amour dans le premier acte, à son évolution dans le deuxième épisode, à sa reconnaissance dans le troisième opus et à son aboutissement dans le dernier tome de cette singulière histoire de l’amour.

Rudy Dhuyvetter nous présente ici son quatrième épisode.